...alors je préfère choisir une césarienne." disent parfois les mères.
Aucun risque ???
"Pour les mamans
* Le risque de mortalité après une césarienne peut être multiplié par un facteur variant de 2 à 10 par rapport à un accouchement par voie basse.
o Un pourcentage important, de l'ordre de 20 à 45%, des décès d'une femme enceinte qui accouche, peut être favorisé par une césarienne.
o Plus le taux de césariennes est élevé, plus les risques de complications maternelles graves comme des hémorragies sont importants.
o Hémorragies tardives plus importantes
o Infection de la cicatrice.
o Baisse de la fertilité
o L'apparition d'un utérus cicatriciel redant plus difficile l'arrivée d'un autre enfant.
o Une augmentation du taux d'infections nosocomiales de 5 à 10 %
Des risques pour le bébé
* Une césarienne représente également des risques pour le bébé( détresse respiratoire, décès..)
* Une augmentation des complications et des déces sont observés chez les bébés nés par césarienne."
http://sante-medecine.commentcamar [...] ienne.php3
"les risques de l'accouchement par césarienne ont été considérablement réduits mais il ne sont jamais nuls, donc il subsiste toujours des risques maternels et fœtaux dus à la césarienne (risques anesthésiques, traumatiques, infections, hémorragies, risques thromboembolique...)."
http://www.aly-abbara.com/livre_gy [...] ienne.html
"L'accouchement par voie basse est associé à une mortalité et à une morbidité maternelle plus faibles que l'accouchement par césarienne avant travail (NP 2). Par rapport à la voie haute et à âge gestationnel égal, il diminue le risque de détresse respiratoire néonatale (NP3). "
http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_08.HTM
"
Risques et inconvénients
La césarienne est une intervention chirurgicale courante, dont les suites sont simples dans la majorité des cas. Malgré tous les progrès et tous les efforts, il persiste toujours un faible risque, maternel et fœtal.
D’une manière générale, un accouchement par voie naturelle s’associe à une morbidité et une mortalité maternelles plus faibles qu’un accouchement par césarienne.
Pour la mère :
* Plaies des organes de voisinage : plaie vésicale (vessie), perforation intestinale (intestin grêle ou colon), plaie urétérale (uretères), plaie vasculaire (veines ou artères), nécessitant une prise en charge chirurgicale spécifique.
* Transfusion sanguine en cas d’hémorragie per opératoire, voir même exceptionnellement, une hystérectomie (l’ablation de l’utérus).
* Hématome post opératoire.
* Infection (infection urinaire), abcès post opératoire (abcès de paroi, abcès du Douglas) : traités par des antibiotiques ou par une reprise chirurgicale.
* Complications thromboemboliques : phlébite, embolie pulmonaire.
* Exceptionnellement, séquelles graves ou risque vital.
* Risques liés à l’anesthésie et aux produits d’anesthésie.
* Impact dans la première relation mère enfant.
* Augmentation des risques de complications pour une future grossesse (saignement, césarienne, mort fœtale in utéro).
* Probable augmentation des risques de stérilité.
Pour l’enfant :
* Détresse respiratoire, asthme à l’enfance.
* Risque de coupure cutanée lors de l’intervention.
* Retard au premier contact avec la mère.
* Une moindre probabilité d’être allaité.
* Mort néonatale (exceptionnellement, essentiellement en cas de grande prématurité ou de pathologie foetale sévère).
"
http://www.docteur-benchimol.com/cesarienne.html
"La césarienne, une opération à ne pas banaliser
Aujourd'hui les techniques de césarienne ont évolué, la rendant plus "confortable", mais la césarienne reste une intervention chirurgicale aux suites douloureuses, avec des risques de complication pour la mère et pour le bébé.
La césarienne (programmée ou réalisée en urgence) multiplie par 5 le risque de mortalité maternelle. Elle multiplie par 3 le risque de maladies nosocomiales. Elle suppose une perte de sang d'environ 1l (volume supérieur aux déperditions sanguines en cas d'accouchement par voie basse sans épisiotomie).
Elle augmente aussi les risques de phlébites et d'embolies, les risques d'infections, les risques d'infections urinaires. Tous les risques liés à l'anesthésie se rajoutent aux risques de l'opération en elle même.
Elle augmente l'inconfort postpartum (la convalescence est plus longue et plus pénible), la détresse psychologique maternelle (sentiment d'avoir été privée de son accouchement, culpabilité, sentiment d'échec, augmentation du taux de dépression post natale) et les risques de douleur chronique.
Pour le bébé, l'intervention n'est pas sans risque non plus : elle peut engendrer des détresses respiratoires néonatales et en perturbant la mise au sein, rend l'allaitement plus difficile."
http://accoucherautrement.free.fr/Cesarienne.htm
Le seul qui ne prend aucun risque lors d'une césarienne, c'est l'obstétricien
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