Accoucher à domicile
Certaines femmes font le choix d’accoucher chez elles. Assistées d’une sage-femme, parfois d’un médecin ou seules (ANA : accouchement non-assisté), comment se déroulent ces naissances naturelles?
Pourquoi choisir d’accoucher à domicile ?
Cette décision découle souvent d’une envie de mettre son bébé au monde dans un univers plus accueillant que l’hôpital, un endroit chaleureux et familier. À la maison, la future mère redevient libre de donner la vie comme elle l’entend, dans la position qu’elle préfère, entourée des personnes qu’elle souhaite. Pour Murielle, 25 ans et maman de Noa, Eden, Elina et Mélodie, c’était une évidence : « Bien avant la conception de Noa, notre décision était déjà prise, la naissance se ferait à la maison, dans notre cocon familial, loin de toute l’hypermédicalisation que nous avions eue pour nos autres enfants ». Les accouchements non-assistés, quant à eux, se font sans aide médicale aucune, si c’est le choix de la maman.
L'accouchement à domicile est-il risqué ?
Toutes les études indiquent que non. 90 % des femmes accouchent chez elles dans le monde ! Il est plus prudent de prévoir des solutions d’urgence, un accouchement ne se passant pas toujours comme prévu : s’inscrire à la maternité près de chez soi, garder les numéros d’urgence et ne pas hésiter à se rendre à l’hôpital à la moindre complication. Les mêmes conseils sont à suivre pour l’accouchement assisté. La femme est - a priori- entre les mains de personnes expérimentées, capables d’intervenir en cas de besoin. La sage-femme saura rassurer la maman et conseiller l’hôpital en cas de besoin.
Cette décision découle souvent d’une envie de mettre son bébé au monde dans un univers plus accueillant que l’hôpital, un endroit chaleureux et familier. À la maison, la future mère redevient libre de donner la vie comme elle l’entend, dans la position qu’elle préfère, entourée des personnes qu’elle souhaite. Pour Murielle, 25 ans et maman de Noa, Eden, Elina et Mélodie, c’était une évidence : « Bien avant la conception de Noa, notre décision était déjà prise, la naissance se ferait à la maison, dans notre cocon familial, loin de toute l’hypermédicalisation que nous avions eue pour nos autres enfants ». Les accouchements non-assistés, quant à eux, se font sans aide médicale aucune, si c’est le choix de la maman.
L'accouchement à domicile est-il risqué ?
Toutes les études indiquent que non. 90 % des femmes accouchent chez elles dans le monde ! Il est plus prudent de prévoir des solutions d’urgence, un accouchement ne se passant pas toujours comme prévu : s’inscrire à la maternité près de chez soi, garder les numéros d’urgence et ne pas hésiter à se rendre à l’hôpital à la moindre complication. Les mêmes conseils sont à suivre pour l’accouchement assisté. La femme est - a priori- entre les mains de personnes expérimentées, capables d’intervenir en cas de besoin. La sage-femme saura rassurer la maman et conseiller l’hôpital en cas de besoin.
C’est le rôle de plusieurs personnes. Le papa, bien sûr, en premier lieu, est là pour soutenir la mère, il peut la masser, la porter, l’aider dans ses différentes positions, s’occuper des autres enfants s’il y en a, et accéder à tous ses désirs…
Quel est le rôle de la sage-femme ?
Elle a un rôle extrêmement important. Elle n’est pas là seulement pour parer aux problèmes éventuels ; elle a suivi la jeune femme durant toute sa grossesse et souvent il s’est créé un vrai lien entre elles ; elle rassure, conseille et apporte un sentiment de sécurité indispensable. Quand Murielle raconte la rencontre avec sa sage-femme, c’est un vrai coup de cœur : « Mon choix s’est tout de suite porté sur C.M, le contact a été très chaleureux, j’étais très à l’aise. Je découvrais une professionnelle de la naissance à mon écoute, respectueuse de ma personne et de mon intimité. Chaque visite mensuelle avec elle a été un réel moment de bonheur. Je pouvais lui parler de toutes mes craintes, ce qui m’avait manqué lors de mes précédents accouchements. Je trouvais enfin ce que je cherchais, une véritable accompagnante à la naissance : elle avait toujours une parole gentille et rassurante ». Il est nécessaire de contacter la sage-femme dès le début de la grossesse. Choisissez-la en fonction de l’affinité immédiate ressentie avec elle. En pratique, il faut savoir que la sage-femme libérale (et/ou le papa !) s’occupe aussi de changer les alèses, les jeter, régler la température de la pièce (26°C).
Elle effectue bien sûr tous les actes médicaux nécessaires tels que vérifier l’ouverture du col, percer la poche des eaux si besoin, sortir le placenta…
La Doula, ou accompagnante, n’a pas de formation médicale. Elle est là pour accompagner le couple, répondre aux questions de la jeune femme avant, pendant et après la naissance. La Doula est en quelque sorte la mère de la mère, et la soutient. Elle n’est ni sage-femme ni un médecin : elle soutient les futurs parents, elle a un rôle d’accompagnatrice, c’est une figure maternelle.
Comment se préparer à l’AAD ?
Cela doit être un choix réfléchi, un souhait réel dénué d’angoisse ou de peur. Il est important de l’envisager sereinement et de calmer ses doutes, tout comme Murielle. « Tout ce qui pouvait faciliter l’accouchement a été fait. J’ai pris toutes sortes de doses homéopathiques pour favoriser la dilatation, les contractions efficaces… Je me suis énormément documentée pour me rassurer, j’ai lu beaucoup de témoignages d’AAD, en bref, je me suis énormément préparée pour cette naissance sur tous les plans. »
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